LES SOBATÈ: LA 9ÈME ÉDITION REFERME SES PORTES

Publié le par Avant Première

LES SOBATÈ: LA 9ÈME ÉDITION REFERME SES PORTES

 

La 9e édition du festival les SOBATE a refermé ses portes dans la soirée du samedi 2 juin 2018 à Ouagadougou. Un bilan jugé satisfaisant selon Delphine Yerbanga , présidente de Africadoc Burkina.

Débuté le vendredi 31 mai 2018, c’est dans la soirée du samedi que le festival les Sobatè a été clos .

Comme à l’ouverture, c’est au siège du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) que les cinéphiles se sont retrouvés pour dire au revoir à cette 9e édition. Cette soirée a été, premièrement marquée par une projection du film documentaire «  Vivre riche » de Joël AKAFOU. Un film qui retrace la vie de jeunes en Côte-d’Ivoire et qui a tenu en haleine le public pendant une heure de temps. Deuxièmement les organisatrices ont traduit leur reconnaissance à des personnes ressources notamment le cinéaste Gaston Kaboré, Ardiouma Soma, Délégué Général du Fespaco, Souleymane Ouédraogo, Directeur Général de l'Isis, et des professionnels qui ont effectué le déplacement. Il y a également les bénévoles (étudiants de l'Université Joseph Ky Zerbo) qui les ont soutenus durant tout le festival. Des attestations de reconnaissance leur ont été remises sous les applaudissements des cinéphiles présents.

Tout en reconnaissant les difficultés qu’elles ont rencontrées dans l’organisation du festival, Delphine Yerbanga affirme que le défi est relevé. «  C’est un plaisir pour moi de voir la tenue de ce festival. Nous avons rencontré de nombreuses difficultés, mais nous avons pu tenir toutes nos activités telles que mentionnées dans notre programme. Et nous sommes vraiment satisfaites du bilan de façon générale », s’est-elle réjoui. En rappel pour cette édition, ce sont 11 films documentaires qui ont été programmés, et également un panel animé par le cinéaste Gaston Kaboré. Tout en disant au revoir à la 9e édition, la présidente de Africadoc Burkina dit mettre le cap sur la 10 ème édition, car selon elle, il y a toujours du chemin à faire pour le rayonnement du cinéma documentaire au pays des Hommes intègres.

Par Idrissa KOMBEM

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